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Simply Mine

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5 décembre 2011

Sébastien Tais - photographer

SignatureAbout me : 

Je suis un photographe amateur, qui aime prendre en photo des instants de vie, des attitudes, que je croise dans la rue.

Vous pouvez visiter ma gallerie ici.

Si je vous ai remis cette carte, prière de me contacter via le formulaire présent sur mon site - gallerie. 

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29 janvier 2008

Juste en passant...

La STIB, c'est bien, mais ça métro de temps

22 janvier 2008

Elections communales 2006


La campagne électorale est en marche – vous n’avez pu le manquer. Les prospectus, autocollants, dépliants inondent nos boîtes aux lettres, en surplus des affiches sur les panneaux prévus à cet effet et aux fenêtres de nos concitoyens.
Qu’est-ce qui fait que tel ou tel candidat est élu ? Selon le principe de la démocratie, le candidat élu est celui qui récolte le plus de voix (ce qui n’est pas vraiment le cas en ce qui concerne les communales, mais là n’est pas le sujet). Donc la question est : comment récolter des voix ? Dans mon idée utopique, c’est le candidat qui propose le programme le plus attirant qui devrait remporter le suffrage. Or on ne joue désormais plus sur le fond pour se faire choisir : c’est à qui sera le plus visible, à qui déploiera le plus de moyens pour sa campagne ! Tel parti a la « gentillesse » de me proposer sur son tract un plan de ma commune, tel candidat distribue un dépliant en forme de magazine TV… Affligeant ! Mais ce qui l'est sans doute encore plus, est que s’ils s’adonnent à ce concours publicitaire, c’est que ça marche. Dans ce cas pourquoi organiser des élections, pourquoi ne pas donner le poste à celui qui payera le plus, comme pour les droits télés pour les retransmissions sportives ? On gagnerait du temps et on ne gaspillerait plus de papier et d’encre inutilement (d’ailleurs quel exemple à la population, à qui on demande de faire attention à la pollution). Sans en arriver là, il serait temps de tenir un débat de fond pour réguler les moyens et les manières, ou l’on risque d’en arriver à ce qui se passe aux Etats-Unis (de réels shows télévisés et des sommes astronomiques pour les présidentielles) ou même en France… Le s élections doivent rester un débat, sérieux, citoyen, et donc ne pas recourir à la publicité , qui est - rappelons le – un moyen de vendre des produits. Surtout si, et c’est la plupart du temps le cas, cette « publicité » ne consiste qu’en une photo du candidat souriant béatement…

22 janvier 2008

Le sens de la vie

Le sens de la vie. En d’autres termes savoir pourquoi on est né. Ou plutôt “pour quoi”, dans quel but. On peut s’étendre en élucubrations métaphysiques ou spirituelles, mais là n’est pas mon propos. Je m’intéresse ici au rôle des gens dans la société, dans notre société, donc aussi dans leur société. Les sociologues qui travaillent du point de vue holiste, c’est-à-dire considérant la société comme un tout, comme un “être”, composé d’organes, qui remplissent des fonctions, comme pour les animaux, prétendent donc que des groupes de personnes remplissent des rôles au sein de la société. Dès lors, y-a-t-il un groupe-cerveau, un groupe-cœur ?

Qui travaille pour qui, en somme. Pour avoir travaillé (enfin c’est un grand mot, mais ne digressons pas) pour le chemin de fer, l’impression que j’avais était que je rendais un service à la société, je permettais aux gens ("normaux") de se rendre à leur travail, mais que donc je ne faisais pas partie des “gens normaux” - je ne prenais même pas les mêmes trains qu’eux, ils appellent ça les “trains de service”, réservés au personnel. En fin de compte, les employés des transports publics en général, servent la société, sans en faire réellement partie.

On peut étendre cela à d’autres domaines. Les restaurants et autres snacks, friteries... servent à nourrir ces “gens normaux”. Le monde des vacances et voyages sert à divertir les “gens normaux” pendant leurs congés. Les hôpitaux, et les services de secours en général, sont aussi là pour les “gens normaux”. On peut appliquer le même raisonnement à l’administration, au commerce, à la science, au sport, au divertissement.

Mais qui sont donc ces fameux “gens normaux” ? Avec tous les domaines précités,
on doit couvrir à peu près 98% de la population (dans les pays occidentaux du moins).
Quand on “sert la société”, qui sert-on ? Si certains montrent parfois peu d’assiduité dans leur travail, c’est qu’au fond, le fruit de leur labeur est pour “que lqu’un de normal”, qu’on ne connait pas. Sauf qu’en fait chacun se retrouve dans cette même situation : quand on “sert la société”, on ne sert pas n’importe qui, mais on sert quelqu’un qui sera amené a nous servir tôt ou tard, directement ou indirectement. Je suis en train de nettoyer les toilettes, que quelqu’un va utiliser, ce quelqu’un allant servir un repas à la personne qui conduit le train qui m’a amené ici, par exemple.

La société est tout aussi complexe qu’un corps humain. Les organes ne travaillent pas pour un “cerveau” ou un “cœur” mais bien pour tous les autres. Ils sont interconnectés, interdépendants. La somme des éléments surpasse les éléments mis bout-à-bout.

Et si le sens de la vie, c’était de participer à l’effort collectif qui permet à chacun de se poser la question ?

22 janvier 2008

Je suis venu te dire que je m'en vais

Non, ce n'est pas Gainsbourg, mais Mr Vlaanderen qui s'adresse à Mme Belgique :
"Je suis venu te dire que je m'en vais
et tes larmes n'y pourront rien changer."


Ce qu'il s'est passé le 7 novembre relève de l'innommable. Ce qu'il s'est passé le 7 novembre crée un dangereux précédent.
Bien sûr, au niveau politique, il n'y a rien de bien grave ; par des astuces juridiques les francophones vont mettre le dossier BHV au frigo.
Non ce n'est pas (encore) là que le bât blesse.
C'est bien dans la forme. Dans le "comment" cette loi est passée. Elle est passée par le déni de l'autre. Par un "tu n'existes pas".


En clair le message qu'ont fait passer les flamands est le suivant : on a essayé de discuter avec vous pour que vous acceptiez la scission de BHV. Vous n'avez pas voulu. Tant pis. On fera sans vous.
On est plus nombreux que vous. Donc on a raison... on aura toujours raison.


Mais à quoi bon discuter dans ce cas ? Pourquoi négocier ? Qu'on passe directement au vote, ce sera plus simple ! Ce sont des méthodes de coup d'état : je prends le pouvoir parce que j'ai derrière moi plus de gens armés que toi. Ils ne sont pas armés, nous non plus, c'est encore plus facile. 6 contre 4. C'est lâche. C'est arrogant.


Parmi les trois principaux quotidiens de langue flamande, seul Het Laatste Nieuws fait mention de l'aspect gravissime de ces évènements.
"Pour la fédération belge, le 7 novembre est aussi un jour triste. C’est le jour où la Flandre s’est comportée en puissance impérialiste. La Belgique à deux grandes communautés ne peut être gouvernée que par consensus. Le côté unique de la Belgique, c’est que majorité et minorité ont donné le pouvoir à la concertation et non à la loi du nombre.
Pour ces raisons, la Belgique a suscité l’admiration à l’étranger. Hier, le bourgmestre d’Aalter a mis fin à cela."


J'ai honte d'être belge.

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22 janvier 2008

Notre ami à tous

Hello à tous !
Voilà j'ai envie de vous parler de mon meilleur ami.
Je pense que personne parmi vous ne l'a rencontré... à vrai dire moi non plus.
Mon meilleur ami, c'est le président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine.


Je ne l'ai jamais rencontré, et c'est mon meilleur ami ? Bah oui... je préfère ne pas prendre de risques !


Il a, les 1er et 2 décembre 2007, remporté les élections législatives avec 64.3 % des voix. Chiffre inconcevable dans une démocratie. Et force est de constater que ces élections ont connu quelques... incidents. Poutine a déjà fait remonter à 7% le seuil de voix nécessaires pour prétendre siéger (en Belgique comme dans toute démocratie ce seuil = 1 siège, en Russie, ce seuil est de 32 sièges), avec redistribution des voix des partis qui ne l'atteignent pas vers ceux qui l'ont atteint.


Son principal adversaire, l'ancien champion du monde d'échecs Gary Kasparov, a été emprisonné plusieurs fois, a vu ses manifestations pacifiques contrées par la police...


Il est intéressant de constater parmi les autres partis qui siègent (alors même que le parti de Poutine a la majorité absolue à lui tout seul) seul 1 lui est réellement opposé, vu que les autres sont des alliés bien connus.


Ces élections ont un gros enjeu : il ne peut se faire réélire une 3e fois, donc il devait remporter les élections largement, soit pour modifier la constitution afin de changer la règle, soit pour asseoir son pouvoir différemment en augmentant les pouvoirs du premier ministre, place qu'il reprendrait à la fin de son mandat en ayant pris soin de placer un pantin à sa place actuelle.


Déjà en 2004, lors de sa réélection aux Présidentielles, son score laissait perplexe (pour utiliser un euphémisme) : 71.2 %. C'est à peine moins que Chirac en 2002, dans des conditions tout à fait spéciales, il faut le rappeler (il était opposé à Le Pen).


Poutine c'est les assassinats d'opposants gênants (Ana Politovskaia, Alexandre Litvinenko) commandités ou à tout le moins couverts.


Poutine c'est la réduction au silence (Affaire Koursk : lors d'une rencontre avec les proches des victimes, une mère a commencé à parler trop librement ; on a fait couper les caméras et une infirmière est venue endormir l'indésirable au moyen d'une seringue).


Poutine c'est la mort des 600 otages du théâtre (c'est un ancien du KGB... il ne fait pas dans la dentelle).


Et vous, Poutine vous en avez peur ?

22 janvier 2008

Mes photos

Par souci de facilité, vous trouverez mes photos à l'adresse suivante : ici

21 janvier 2008

Mais qui est-ce ?

Je vais vous parler aujourd’hui

De mon amour de toujours ;

Elle m’emmène au paradis

A peu près tous les jours.

 

Quand sous mes doigts j'la sens vibrer,

On est en parfaite symbiose.

Quand sa douce voix se met à chanter,

C’est comme si j’entrais en hypnose.

 

Elle n’a pas de conversation,

C’est moi qui la fais parler.

Elle n’a pas de sujet de prédilection,

Parfois on discute juste variétés.

 

Elle a un sacré tempérament,

Je ne connais pas tous ses préceptes,

Mais avec un peu d’acharnement,

J’en suis devenu adepte.

 

Ses hanches feraient fondre n’importe qui,

Mais seuls quelques vernis peuvent les saisir.

Attention, elle a du coffre et elle crie,

Et là, ce ne sera pas de plaisir !

Mon amante n’est pas une femme,

C’est ma guitare, tout simplement.

Et même si elle n’a pas d’âme,

On s’aime, tendrement.

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